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Alain Brice Boumpoutou, nouveau président de l’Institut Ucac-Icam

International
14 Jan 2025

Alain Brice Boumpoutou a succédé courant décembre 2024 à Jean-Luc Soufflet qui s’est investi durant de longues années au service de l’Institut Ucac-Icam, en Afrique Centrale. Vice-président du conseil d’administration depuis deux ans et administrateur permanent depuis 2018, Alain Brice Boumpoutou connaît bien l’Institut Ucac-Icam. Il souhaite aujourd’hui s’inscrire dans la même dynamique que celle de son prédécesseur Jean-Luc Soufflet, dont le mandat restera gravé comme une période de transformation et de consolidation.

Alain Brice Boumpoutou a une longue expérience dans le milieu industriel et un attachement profond pour l’éducation et la transmission. « Je garde en souvenir, au début des années 90, ces cours de mathématiques que je donnais aux futurs religieux du séminaire catholique de Loango dans la région de Pointe-Noire (Congo), en même temps que je travaillais. J’y suis allé bénévolement durant deux ans et quelques années plus tard, j’ai fait le même choix à l’Ucac-Icam ». Une manière pour lui de mieux connaître l’Icam de l’intérieur, cette école d’ingénieur qu’il aurait aimé intégrer après le bac.

« La dimension humaine de l’Icam me touche particulièrement »

Il rejoint finalement l’Institut Ucac-Icam, en intégrant l’équipe des administrateurs en 2010-2011, puis en 2015-2018 avant de devenir administrateur permanent en 2018, année de sa retraite. « La dimension humaine de l’Icam, que l’on ne retrouve pas dans les autres écoles d’ingénieur, me touche particulièrement », précise-t-il. En 2022, il devient vice-président du conseil d’administration et prend donc aujourd’hui la suite de Jean-Luc Soufflet à la présidence.

« C’est un gros challenge et un honneur, et je ferai en sorte d’en être digne. Je remercie d’ailleurs ceux qui m’ont fait confiance en me laissant ces responsabilités. Ma volonté est de rester dans la même dynamique insufflée par Jean-Luc, en consolidant ce qui a été fait. Parce qu’avec 1100 étudiants, nous pouvons dire que nous avons atteint l’âge de raison ! Nous continuerons aussi d’ouvrir de nouveaux horizons pour l’Institut. Nous regardons par exemple attentivement le modèle des écoles de production en France, pour ces jeunes en décrochage et défavorisés à qui nous pourrions donner une formation professionnelle et une nouvelle chance. L’expérience en cours à Pointe-Noire, démarrée il y a un an, va se poursuivre et nous savons que ces besoins existent également à Douala (Cameroun). Nous avons ainsi encore beaucoup de belles choses à faire ici, pour nos jeunes ».

 

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