Vincent Margerand
21 Jan 2019
Comment es-tu devenu président du Printemps de l’Icam ?
L’année dernière, après le dernier Printemps de l’Icam, le bureau de l’année 2015 a été constitué. Lors de la répartition des différentes fonctions, mon nom est apparu pour la place de président. Avec l’équipe, nous avons décidé que j’allais occuper ce poste. J’y avais déjà réfléchi auparavant, mais je souhaitais que cette décision soit collective. En effet, la présidence engendre de nombreuses responsabilités et sa réussite implique l’adhésion de tous.
Comment fonctionnait l’équipe organisatrice ?
Chacun des membres du bureau était à la tête d’une équipe de la promotion, qui prenait en charge une partie de l’organisation du Printemps de l’Icam (communication, animation, soirée…). Pour ma part, j’étais le responsable de l’organisation du bureau.
Avec le recul, quels enseignements as-tu tirés de cette expérience ?
Je dirais que c’est une véritable école de vie, que ce soit au niveau professionnel ou au niveau des relations humaines. Bien sûr, la pression est très importante à certains moments. Mais elle est atténuée si l’on a confiance en l’équipe que l’on manage et en ses compétences. En effet, l’union fait la force : je me suis rendu compte que l’on ne peut rien réaliser seul, surtout pour organiser un événement de ce genre.
Quelle qualité principale doit posséder un président du Printemps de l’Icam?
Pour moi, la communication est primordiale. Un président doit écouter et avoir un échange avec toutes les personnes du projet. De plus, il est essentiel de bien faire circuler les informations au sein de l’équipe, tout en vérifiant l’avancement de chaque membre du bureau, afin de pouvoir avancer ensemble.
En quoi cette expérience te sera utile pour ton futur métier d’ingénieur?
Pour être ingénieur, j’estime qu’il faut être organisé et rigoureux dans sa vie professionnelle. Une expérience comme celle-ci nous oblige à l’être ou à le devenir. Je pense que j’ai beaucoup progressé sur ce point, grâce à mes responsabilités de président.
Si c’était à refaire, est-ce que tu recommencerais?
Bien sûr : je le referais, et avec la même équipe. C’était une expérience formidable, qui m’a permis de découvrir beaucoup de personnes de la promotion, que je ne connaissais pas forcément très bien auparavant. Surtout qu’avec 8 000 visiteurs et un budget positif, l’édition de 2015 a été un véritable succès.
D’ailleurs, avec l’équipe, nous sommes prêts à aider et à conseiller nos successeurs de l’année 2016 !