Yan-Alan
8 Mar 2019
Cette année, je suis parti à l’université Georgia Tech à Atlanta, pour y réaliser mon MSI.
J’ai saisi cette opportunité pour m’immerger dans une autre culture en l’occurrence américaine. Mon objectif premier : développer mon expression orale en anglais (seule une immersion le permet). Aussi, ce stage a été l’occasion de côtoyer des chercheurs de haut niveau et ainsi découvrir leurs méthodes et leurs rythmes de travail. De plus, je souhaite commencer ma carrière à l’international. Au-delà du stage international obligatoire, avoir une expérience internationale plus longue est un élément clé sur un CV. Enfin, une expérience internationale permet d’apprendre sur soi et découvrir nos limites, points forts et axes d’amélioration.
J’ai travaillé dans un laboratoire mécanique. Ce dernier est le cinquième meilleur au monde, cela signifie des équipes très qualifiées et des investissements financiers importants. En tant « qu’assistant doctorants » j’ai commencé par une partie théorique, c’est-à-dire m’approprier la théorie puis coder sur Matlab.
Ensuite (3 mois), j’ai réalisé des expériences. Mon sujet : actionnent d’un robot poisson à travers un capteur piézoélectrique. Les applications peuvent être étudier la vie sous-marine, militaire… et surtout étudier le comportement des capteurs piézoélectriques pour la seconde partie (autre étudiant Icam) : la récupération d’énergie.
Sur un campus américain de 26 000 étudiants, je me suis « éclaté ». J’ai rencontré différentes nationalités, participé aux fraternités/soirée, visité, voyagé à Miami et Chicago, approfondi un domaine technique prometteur et assisté à plein d’activités au sein du Campus. C’est comme dans les films !!!